jeudi 26 décembre 2024

Prendre l'air!

   J'en ai entendu une bonne hier sur les nouvelles d'Ici Première, la radio de Radio-Canada. Pour éviter que les urgences d'hôpital débordent à cause des virus respiratoires, il faut aller prendre l'air. Sans doute que vous êtes trop souvent à l'intérieur. Mais, je comprend l'idée de prendre soin de soi, c'est comme bien manger. Tout ce qui vous nourrit, vous rend plus fort. Votre système immunitaire devient plus fort. Le problème, c'est que si vous venez en contact avec le virus respiratoire, vous devenez infecté. Bien sûr que vous allez aux urgences pour vous guérir. La médecine dit que les vaccins sont la meilleure arme contre les virus respiratoires. Pourquoi ce n'est pas tout le monde qui ce fait vacciner? Quelqu'un a une meilleure idée? Joyeuses fêtes à tous.


   Vous pouvez remercier Marie-Maude Lavallée. Mais elle n'est pas responsable de cette économie insuffisante pour financer ce système de santé médiocre. Si on regarde les États-Unis, c'est pire. Nous sommes en sécurité et nous sommes du G7.


vendredi 20 décembre 2024

Urgences

 Les urgences d'hôpital fonctionnent au-dessus de 100% à cause des virus respiratoires. Je n'en suis pas surpris et moi je n'ai pas besoin de ce système de santé qui n'évolue pas. Je pourrais vous montrer mon tour de magie, mais ça n'intéresse personne. Alors, écoutez les conférences de presse des médecins qui vous répètent leurs conseils semblables à toutes les années. Vous aimez ça mourir. La preuve, regardez qui a gagné les élections de nos voisins de l'Amérique du Nord. Ce sont les meilleurs, des vrais gagnants.

jeudi 19 décembre 2024

Didier Raoult

 L'étude du professeur Didier Raoult sur l'hydroxychloroquine officiellement invalidée par la revue scientifique. Donald Trump avait déclaré en boire, mais lui aussi, n'est pas crédible. Moi, j'ai inventé un tour de magie qui fait disparaître les virus respiratoires et le SARS-CoV-2. Suis-je crédible? Mais non, aucun des neuf millions de médecins dans le monde ne vont m'approuver. Du moins, pas sans que j'en ai fait la preuve. Je suis loin d'avoir un contact avec une université ou une revue de science. Combien cela me coûterait de publier dans une revue? J'ai besoin d'argent, quelqu'un veut me faire un don? Je vais donner mon adresse postale.


mardi 17 décembre 2024

Pénélope

 Les 25 dernières années ont-elles changé votre rapport à la santé?

Oui, je me souviens du bogue de l'an 2000. J'avais des doutes sur son existence. Pourtant je ne connaissais rien aux ordinateurs. Mais, ce n'est pas seulement la nouvelle technologie que je trouvais suspecte. C'est la médecine qui attira mon attention. J'ai douté de la connaissance des docteurs sur le virus de la grippe. Regardez comment les gens s'infectent dans le film "Contagion" et ce qu'on connais aujourd'hui suite à la pandémie de COVID-19. En 2010 je prenais le nom de "Flu_Killer" sur Twitter et Reddit. Mon compte Twitter est suspendu et c'est une bonne chose maintenant. Je n'ai pas réussi à me faire connaître, mais j'ai passé la pandémie à combattre 5 infections du SARS-CoV-2 sans l'aide du système de santé. C'est le système de santé qui a besoin de moi. Les gouvernements eux aussi ont besoin de mes connaissances. Je me souviens des pays du G7 comme le Canada ou du G20 qui ont fermé leur frontière avec l'Afrique du Sud quand ce pays découvre le variant "Omicron". Quelle farce! Depuis ce temps, je vois que nous sommes en sécurité. Heureusement, il y avait le docteur Anthony Fauci au États-Unis. Le président Joe Biden déclare en conférence de presse: "Ce variant n'est pas un variant de panique, mais un variant concernant."

dimanche 8 décembre 2024

La journée

 La journée de travail sera longue et pénible, si vous ne pouvez pas inventer la roue. C'est exactement ce que je constate des agences de santé internationale ou nationales. Connaissez-vous vraiment la santé? Parce que je n'ai pas eu besoin du système de santé de mon pays pour combattre les virus respiratoires tel que l'influenza, le SARS-CoV-2, la coqueluche et la pneumonie. Vous cherchez quoi, les désinformations ou l'idée de génie?


vendredi 15 novembre 2024

Chaos

   On annonce le chaos! Oui le chaos, parce que Donald Trump ne connais rien à l'économie. C'est un économiste qui le dit. Pire, il ne connais rien à la science comme celui qu'il vient de nommer à la santé. Ils vont compter les morts avec le vaccinosceptique Robert F Kennedy jr. 


   La population a droit à l'erreur. Mais, la population pourrait s'informer de bonnes sources au lieu de "X" anciennement Twitter. D'ailleurs beaucoup de monde ont quitter pour les autres réseaux sociaux.


   Vous allez voir un gouvernement d'incompétents en action. Ne leur dites pas que j'ai la solution magique, surtout qu'elle n'existe pas.

mardi 15 octobre 2024

La Californie et le H5N1

 La Californie est aux prises avec la grippe aviaire, 95 hordes de vaches laitières étaient infectées durant les derniers mois. C'est beaucoup moins pour les autres états. Est-ce que cette éclosion va se répéter ailleurs? Il me semble que sur la côte du Pacifique, ils sont plus vulnérables à cause de l'humidité de l'océan. Pourtant, il n'y a pas de mauvaise nouvelle en Colombie-Britannique. Même le Canada ne subit pas toutes ces infections de grippe aviaire. Je ne connais pas la situation de toutes les fermes en Amérique du nord. Je m'informe sur les virus respiratoires seulement. Le reste est à surveiller. Bonne chance à tous.

mercredi 18 septembre 2024

Ça va bien aller!

 


Au Québec, les médecins et le gouvernement cherchent des solutions, ensemble ou séparément? Nous avons des gens d'affaires dans notre gouvernement provincial, ça marche bien. lien

Avez-vous entendus l'avertissement de Bill Gate au sujet d'une pandémie qui aura lieu dans environ vingt cinq ans, minimum? Mais vous pourrez savoir pourquoi en français ici.

mardi 7 mai 2024

Grippe aviaire aux États-Unis

 

Les agences fédérales aux intérêts concurrents ralentissent la capacité du pays à suivre et à contrôler une épidémie de grippe aviaire très virulente qui, pour la première fois, infecte les vaches aux États-Unis, selon des responsables gouvernementaux et des experts de la santé et de l'industrie.

Cette réponse fait écho aux premiers jours de 2020, lorsque le coronavirus a commencé sa marche meurtrière à travers le monde. Aujourd’hui, certains responsables et experts expriment leur frustration face au fait que davantage de troupeaux de bétail ne sont pas testés pour la grippe aviaire et que lorsque des tests et des études épidémiologiques sont menés, les résultats ne sont pas partagés assez rapidement ou avec suffisamment de détails. Ils craignent que ces retards ne permettent à l’agent pathogène de se déplacer sans contrôle – et potentiellement d’acquérir la machinerie génétique nécessaire pour se propager rapidement parmi les humains. Un travailleur laitier du Texas est déjà tombé malade au milieu de l'épidémie, le deuxième cas américain de ce type de grippe aviaire.

Les responsables et les experts ont déclaré que le manque de mises à jour claires et opportunes de la part de certaines agences fédérales répondant à l’épidémie rappelle des faux pas de communication similaires au début de la pandémie de coronavirus. Ils soulignent notamment l'incapacité de fournir publiquement davantage de détails sur la manière dont le virus H5N1 se propage chez les vaches et sur la sécurité de l'approvisionnement en lait.

"Cela nécessite que plusieurs agences se coordonnent et communiquent en interne, mais surtout en externe, ce qui ne semble pas se produire en raison de différentes cultures, priorités, responsabilités juridiques, expertise scientifique et agilité", a déclaré Katelyn Jetelina, épidémiologiste qui rédige une étude. bulletin hebdomadaire sur les maladies infectieuses et a suivi de près l'épidémie de grippe aviaire. « Ajoutez à cela les défis habituels de l’incertitude scientifique, de la complexité et, franchement, de la pression mondiale, et vous vous retrouvez dans un gâchis totalement inacceptable. »

Un haut responsable de l’administration a déclaré qu’il n’y avait « aucun intérêt concurrent ». Le Bureau de la Politique de préparation et de réponse aux pandémies de la Maison Blanche coordonne la réponse à l’épidémie avec les agences compétentes « qui travaillent rapidement et méthodiquement ». Le gouvernement est « déterminé à partager les résultats dès que possible », a déclaré le responsable, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat pour discuter des délibérations internes.

"Ce travail est une priorité urgente alors que nous travaillons pour garantir l'efficacité continue du système de sécurité du lait de l'État fédéral et renforcer l'évaluation actuelle de [la Food and Drug Administration] selon laquelle l'approvisionnement commercial en lait est sûr", a déclaré le responsable de l'administration. Jusqu'à mercredi, le dépistage du H5N1 dans les troupeaux laitiers était volontaire et limité aux vaches présentant certains symptômes. Le nombre de tests par ferme était également limité. Ce protocole a suscité de vives critiques de la part des experts en santé publique. Alors qu'il est de plus en plus évident que le virus est plus répandu que prévu parmi les vaches, le ministère américain de l'Agriculture a annoncé mercredi que les vaches laitières en lactation doivent être testées pour la grippe aviaire avant de traverser les frontières des États, à partir de lundi.

La responsabilité de surveiller et de contenir l’épidémie est répartie entre trois agences. L'USDA mène l'enquête sur le virus chez les vaches, la FDA supervise la sécurité alimentaire et les Centers for Disease Control and Prevention surveillent les risques pour les personnes. Les agences ont donné des mises à jour individuelles sur leurs parties de l'enquête sur l'épidémie, mais mercredi, c'était la première fois depuis que la grippe aviaire a été détectée chez les vaches il y a quatre semaines que le CDC, la FDA et l'USDA, ainsi que d'autres agences, ont tenu une conférence de presse conjointe. Jeudi, les scientifiques du gouvernement devraient présenter les données de leurs enquêtes lors d'un webinaire organisé par les responsables de la santé de l'État.

Depuis des semaines, les principales agences fédérales ont exprimé leur confiance dans la sécurité de l'approvisionnement commercial en lait, y compris les produits pasteurisés vendus dans les épiceries.

Mais il a fallu deux semaines avant que la FDA ne réponde directement aux questions du Washington Post quant à savoir si l’agence testait le lait sur les étagères des épiceries pour le H5N1. Mardi, l’agence a confirmé que des particules virales avaient été trouvées « dans certains échantillons », mais elle a refusé de fournir des détails. Mercredi, un responsable de la FDA a confirmé que des fragments avaient été trouvés dans le lait sur les étagères, mais a refusé de dire combien d'échantillons l'agence avait testés, combien contenaient des fragments de virus et d'où provenait le lait. Les tests n’indiquent pas si les fragments de virus sont actifs ou morts.

Des tests supplémentaires sont en cours, mais Donald A. Prater, directeur par intérim du Centre pour la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée de la FDA, a déclaré que l'agence n'a rien vu qui puisse modifier son évaluation selon laquelle l'approvisionnement commercial en lait reste sûr. "Nous savons également que les évaluations peuvent changer à mesure que nous en apprenons davantage, et nous serons transparents sur tout changement basé sur les données émergentes", a déclaré Prater.

Les autorités cherchent des réponses à d’autres questions clés : elles veulent savoir si le virus se propage entre les vaches par des moyens mécaniques, tels que les équipements de traite, comme le suggèrent les preuves, ou par voie aérienne, ce qui serait plus dangereux et entraînerait une propagation plus soutenue. Ils souhaitent également savoir combien de temps les animaux d’élevage excréteront le virus dans leur lait une fois guéris d’une infection. Et, surtout, ils chercheront à déterminer les risques d’exposition humaine et si des protocoles sont en place au niveau de l’État si d’autres personnes sont testées positives.


L'enquête "implique différents types d'échantillons, différents types d'études et le fait d'être vraiment méthodique sur la façon dont nous abordons les réponses à ces questions autour de choses comme garantir la sécurité de l'approvisionnement alimentaire", a déclaré un haut responsable du gouvernement qui s'est exprimé sous couvert d'anonymat. pour partager des discussions de politique interne.


"Nous n'essayons pas de déclencher l'alarme incendie ici et de suggérer qu'il y a plus de risque pour les gens qu'il n'en existe", a déclaré un autre responsable fédéral de la santé, qui a également parlé sous couvert d'anonymat pour partager les délibérations internes.


La clé de l’épidémie réside dans les vaches.


Les responsables de la santé publique et les experts de l’industrie affirment que l’USDA devrait procéder à des tests plus larges pour brosser un tableau plus clair de l’ampleur de l’épidémie. Le gouvernement a été trop lent à partager des informations génétiques et des études épidémiologiques, ont-ils déclaré. Des tests plus systématiques sur les troupeaux et même sur d'autres animaux réduiraient le risque de propagation du virus à d'autres élevages de bovins et de volailles, ont déclaré des experts en santé publique et des vétérinaires.


"Étant donné qu'il s'agit d'une nouvelle épidémie, les tests doivent être effectués à grande échelle et rapidement, les enquêteurs doivent se rendre dans les fermes touchées, et les scientifiques et les décideurs politiques doivent rassembler tout cela pour établir un plan d'action coordonné", a déclaré Tom Inglesby, directeur de le Johns Hopkins Center for Health Security, a déclaré dans un e-mail la semaine dernière. Inglesby était le tsar des tests de la Maison Blanche lors de la réponse de l’administration Biden au coronavirus.


« Il ne s’agit pas seulement de protéger les intérêts agricoles américains », a déclaré Jennifer Nuzzo, directrice du Pandemic Center de la Brown University School of Public Health. « Il s’agit de protéger la santé humaine, de protéger les travailleurs agricoles qui pourraient être en danger et d’empêcher qu’une autre pandémie ne se produise. »